Comment soigner le trouble dysphorique prémenstruel ?

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Comment soigner le trouble dysphorique prémenstruel ?

Comment soigner le trouble dysphorique prémenstruel ?

Les inhibiteurs sélectifs de la recapture de la sérotonine (SSRI) tels que la fluoxétine (Fluctine®), sertraline (Zoloft®), paroxétine (Deroxat®) et le citalopram (Seropram®) se sont avérés efficaces et constituent actuellement le traitement de choix du TDPM.

Quels sont les symptômes du syndrome prémenstruel ?

Les signes les plus fréquents sont l'irritabilité, l'anxiété, l'agitation, la colère, l'insomnie, les difficultés de concentration, la léthargie, la dépression et la fatigue intense. La rétention hydrique entraîne des œdèmes, une prise de poids transitoire, des seins tendus et douloureux.

Quand arrive le syndrome Premenstruel ?

Le syndrome prémenstruel associe des céphalées, un gonflement et des douleurs des seins, un ballonnement abdominal, des œdèmes des extrémités, une irritabilité. Il débute 10 à 12 jours avant les règles et se poursuit jusqu'à la fin du cycle.

Qui consulter pour Tdpm ?

Elle lui suggère de consulter son médecin de famille. Elle consulte son médecin de famille, qui diagnostique un TDPM.

Quelles sont les causes du syndrome prémenstruel ?

On sait que le syndrome prémenstruel est lié à l'ovulation et au cycle menstruel. L'une des explications est la fluctuation hormonale typique de la deuxième partie du cycle menstruel : tandis que la sécrétion d'oestrogènes baisse, celle de la progestérone augmente, puis chute à son tour en l'absence de grossesse.

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