Pourquoi Juda a embrassé Jésus ?

Pourquoi Juda a embrassé Jésus ?

Le baiser qu'il a donné à Jésus sur le Mont des Oliviers était en réalité un témoignage d'amour et d'affection envers celui qu'il considérait comme le sauveur d'Israël, une expression publique du respect qu'il lui vouait, et non un acte de traîtrise.

Qui était le 13e apôtre de l'Évangile ?

Paul de Tarse est néanmoins considéré comme le 13e apôtre puisqu'il a été institué par le Christ lui-même sur le chemin de Damas.

Quel est le sens de l'expression un Judas ?

1. Traître (souvent avec majuscule). 2. Petite ouverture, guichet pratiqués dans un vantail de porte, une cloison, etc., permettant de regarder, de surveiller sans être vu.

Pourquoi un Judas ?

Depuis, le nom commun judas désigne un traître. ... Et par analogie, ce nom est également donné à un orifice ou un guichet percé dans une porte et servant à épier sans être vu.

Quelle est l'histoire de Judas?

• L'histoire de Judas nous enseigne de nous garder de petites chutes graduelles qui gagnent de l'ampleur et de la puissance dans nos vies et qui pourraient ouvrir la voie à des influences plus mortelles. Son histoire est aussi un rappel cinglant que les apparences peuvent être trompeuses.

Comment a-t-il suivi Jésus après sa trahison?

• Judas a peut-être suivi Jésus dans l’espoir de bénéficier de son association avec lui en tant que nouveau pouvoir politique. Il espérait clairement faire partie de l’élite au pouvoir après la révolution. Au moment de sa trahison, Jésus avait clairement dit qu’il devait mourir, pas lancer une rébellion contre Rome.

Qui est arrivé après la mort de Judas?

• Actes 1.18-19 poursuit l'histoire de ce qui est arrivé après la mort de Judas et donne quelques renseignements supplémentaires. Luc se souvient : « Cet homme, ayant acquis un champ avec le salaire du crime, est tombé, s'est rompu par le milieu du corps, et toutes ses entrailles se sont répandues.

Est-ce que Judas était libre de ses choix?

• Dans tous les cas, Judas était pleinement libre de ses choix, au moins jusqu’au point où « Satan entra en lui » ( Jean 13.27 ), et la prescience de Dieu ( Jean 13.10, 18, 21) ne s’oppose aucunement à cela.