Quelles sont les différentes techniques culturales ?

Table des matières

Quelles sont les différentes techniques culturales ?

Quelles sont les différentes techniques culturales ?

1 - Les techniques culturales

  • Les techniques culturales.
  • Le désherbage manuel.
  • Le sarclage.
  • Le désherbage chimique pendant la culture.
  • Le désherbage chimique en dehors des périodes de culture.

Pourquoi on laboure la terre ?

Depuis les débuts de l'agriculture, on a recours au labourage pour retourner, mélanger, et ameublir la terre. Cette action entraîne une minéralisation rapide de la matière organique dans les sols vierges, qui libèrent des éléments nutritifs pour la culture suivante.

Quelles sont les techniques culturales au Bénin ?

Les techniques de désherbage des cultures pratiquées au Bénin sont de trois ordres: - le sarclage; - le binage suivi du buttage; - le désherbage chimique (dans la plus grande région agricole, seulement 2% des superficies sont désherbées chimiquement).

Pourquoi il ne faut pas labourer la terre ?

érosion des sols (particulièrement s'ils sont fragiles) ou dessèchement, baisse de la quantité de matière organique en surface (et la qualité), enfouissement en profondeur des débris végétaux, amendements organiques, nématodes et micro-organismes décomposeurs.

Pourquoi labour très profond ?

Le labour permet : d'enfouir les résidus. de corriger des compactions du sol (car c'est un travail profond) : correction des problèmes de trafic (compactions liées à des passages répétés d'engins) sans passer par une fissuration.

Comment cultiver la grande morelle ?

Au Bénin, la grande morelle peut être cultivée sur toute l'étendue du territoire. Elle est plus produite en saison pluvieuse qu'en saison sèche (avec système d'irrigation). La pépinière de la grande morelle dure 3 à 4 semaines. Elle doit être proche d'un point d'eau et facile d'accès.

Comment cultiver Gboma ?

Pour avoir des feuilles bien larges de Gboma, il faut apporter de la fumure organique (fientes, bouse de vache ou du compost) à la dose de 10 tonnes/ha (soit 1 kg/m²) une semaine après le repiquage. Cette fertilisation peut être faite lors du labour.

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