Pourquoi les si n'aiment pas les Raï ?

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Pourquoi les si n'aiment pas les Raï ?

Pourquoi les si n'aiment pas les Raï ?

La raison de cette règle vient du fait que la préposition "si" marque déjà, elle-même, la condition. L'action subordonnée s'écrit au conditionnel lorsque la subordonnante n'est pas achevée (ou ne se réalisera peut-être jamais).

Quand Peut-on utiliser si j'aurais ?

Rappelons la règle: lorsqu'on emploie la conjonction «si», qui traduit de fait une condition, il est inutile d'y ajouter un verbe conjugué au conditionnel. Ainsi, il faut écrire: «Si j'avais su, je ne serais pas venu.»

Pourquoi les SI mangent les rais ?

Or, malgré son nom, le conditionnel ne sert jamais à exprimer la condition en tant que telle, mais la CONSÉQUENCE de cette condition. C'est plutôt l'imparfait qui a la valeur modale d'exprimer «une action possible qui est la condition d'une conséquence», explique la BDL. De là, les «si» qui mangent les «rais».

Quelle temps après si ?

Dans la première partie de la phrase, "si" est suivi d'un verbe conjugué à l'imparfait de l'indicatif. Dans ce cas, le verbe de la seconde partie de la phrase est conjugué au conditionnel. Et à la première personne du singulier, la terminaison est -ais, d'où "je ferais", que l'on prononce d'ailleurs [ferè].

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