Pourquoi mutilations génitales féminines ?

Table des matières

Pourquoi mutilations génitales féminines ?

Pourquoi mutilations génitales féminines ?

De nombreuses communautés pratiquent les mutilations génitales féminines parce qu'elles sont convaincues que celles-ci permettront aux filles de faire un bon mariage ou de préserver l'honneur de la famille. Certaines l'associent à des croyances religieuses, même si aucun texte sacré ne prône une telle pratique.

Quel ce que l'excision ?

L'excision est une forme de mutilation sexuelle qui vise à retirer le clitoris, ou du moins une partie, d'une enfant ou d'une adolescente.

Comment lutter contre les mutilations génitales féminines ?

Des déclarations publiques à tous les niveaux ont dénoncés les mutilations génitales féminines comme une violation des droits de l'homme et qui doivent être stoppées. De telles déclarations fournissent le soutien politique nécessaire pour renforcer les efforts et les initiatives dans les communautés.

Est-ce que la législation contre l'excision a cassé la porte?

  • Le père de Mme Yeko, Arapkwures Chemegich, qui est opposé aux mutilations génitales féminines, affirme que la législation contre l'excision a créé des "poches de résistance". "Quand nous avons essayé de l'arrêter, elle s'est débattue et a cassé la porte", dit-il, parlant de Sylvia Yeko.

Quels sont les mythes de l’excision?

  • D’autres croyances, les mythes : certaines communautés pensent que l’excision favorise la fécondité des femmes ; qu’elle permet d’assurer une meilleure hygiène, de rendre les femmes plus attrayantes ou même de leur ôter les parties qu’ils considèrent comme masculines ou dangereuses telle que le gland du clitoris.

Pourquoi l'excision est interdite en Ouganda?

  • Cela incite certaines femmes adultes à se faire exciser. La pratique, qui ne concernait auparavant que les adolescentes, a été interdite en Ouganda en 2010. Le père de Mme Yeko, Arapkwures Chemegich, qui est opposé aux mutilations génitales féminines, affirme que la législation contre l'excision a créé des "poches de résistance".

Comment travaille l’UNICEF à l’abandon de l’excision?

  • L’Unicef, qui travaille de longue date à la compréhension des dynamiques qui sous-tendent la perpétuation et l’abandon de l’excision, explique ainsi dans une étude de 2010 : « Dans les communautés où elle est pratiquée, l’E/MGF n’est considérée ni comme dangereuse, ni comme une violation des droits humains.

Articles liés: