Quelle année le naufrage de l'Erika ?

Quelle année le naufrage de l'Erika ?

12 décembre 1999 Un naufrage de pétrolier, des côtes recouvertes de fioul, des dizaines de milliers d'oiseaux morts… il y a tout juste vingt ans, le 12 décembre 1999, le pétrolier Erika, affrété par Total, se brisait et sombrait au large de Penmarc'h, à la pointe sud du Finistère, laissant s'échapper 20 000 tonnes de fioul lourd.

Comment l'Erika a coulé ?

L'Erika est un pétrolier battant pavillon maltais (pavillon de complaisance) construit en 1975 et affrété par la société Total, qui a fait naufrage le 12 décembre 1999 au large de la Bretagne, lors d'un transport de 30 884 tonnes de fioul lourd en provenance de Dunkerque et à destination de Livourne (Italie).

Quelle est la chronologie du naufrage de l'Erika?

• Retour sur la chronologie du naufrage de l'Erika. De son départ de Dunkerque jusqu'aux condamnations par la cour d'appel puis de cassation de Paris. Il y a vingt ans, le 12 décembre 1999, l’Erika, affrété par TotalFina, se brisait en deux et laissait échapper l’une des pires marées noires de France, sur 400 km de côtes.

Que fait l’équipage de l’Erika?

• Le commandant envoie finalement un message de détresse et demande l’évacuation du bateau, signalant la déchirure de la coque. L’Erika fait naufrage en se cassant en deux. 7 0 tonnes de pétrole se déversent dans la mer. Les 26 membres de l’équipage sont évacués.

Quels sont les navires de la série Erika?

• Initialement dénommé Shinsei-Maru, il est le second d'une série de huit navires identiques construits entre 19. Long de 184 mètres et compartimenté en 14 cales, l’ Erika est conçu comme un transporteur polyvalent de produits pétroliers ( bruts, raffinés ). Il comprend treize citernes, deux lignes de manutention, et deux slop-tanks.

Quels sont les naufrages de pétrolier?

• Un naufrage de pétrolier, des côtes recouvertes de fioul, des dizaines de milliers d’oiseaux morts… il y a tout juste vingt ans, le 12 décembre 1999, le pétrolier Erika, affrété par Total, se brisait et sombrait au large de Penmarc’h, à la pointe sud du Finistère, laissant s’échapper 20 000 tonnes de fioul lourd.